Le projet de la zone commerciale est d’abord le fruit d’une rencontre humaine.
Après avoir acheté le terrain et l’hôtel, Johann MERCIER et Vincent MARIE, d'Obazyne, sont venus se présenter pour discuter et voir quels étaient les besoins de la ville. Cette démarche m’a touché car, en général, les promoteurs ne se donnent pas cette peine. Ils font leur projet selon leurs besoins, sans consulter la mairie, et souvent ça ne se passe pas bien. Ils considèrent que respecter les règles de l’urbanisme suffit et qu’ils n’ont pas besoin d’avoir de projet pour la ville.
C’est pourquoi je remercie vraiment Obazyne d’avoir eu cette démarche, qui encore une fois, même si elle peut sembler de bon sens, n’est pas du tout ce qui se pratique habituellement.
Ils n’ont pas cherché à faire du forcing, au contraire, tout a été travaillé en amont. Et c’est là qu’ils sont forts ! Ils ont compris l’humain. C’est comme ça qu’on peut travailler ensemble à des projets qui vont profiter à la population : sur le type d’enseignes, sur le côté architectural, sur les espaces verts, les parkings… C’est important car tout le monde y gagne : Obazyne avait par exemple besoin d’une parcelle de terrain adjacente qui appartenait à la mairie : s’ils n’avaient pas été corrects, je la leur aurais refusée. Et ça aurait été plus compliqué pour eux. Tout est plus simple quand on se met autour d’une table pour un projet commun.
J’ai trouvé par ailleurs avec Obazyne des partenaires avec lesquels je partage des valeurs : le respect, l’écoute… Cela instaure une relation de confiance réciproque, ce qui est primordial. Lorsqu'il y a un problème, ils viennent en parler, il n’y a pas de non-dit. C'est vraiment un échange, un partenariat et, je tiens à le souligner : c’est la première fois que je travaille comme ça.
La première chose que je leur ai dit c’est “à Saint-Doulchard, il n’y a pas de pizzéria”. Ils se sont adressés au Groupe Bertrand qui a abondé dans ce sens et, compte tenu du manque de restauration assise sur la ville et de l’emplacement remarquable, a proposé d’installer non pas un mais deux restaurants : Volfoni et Au Bureau. Ils ont donc été à l’écoute et, je le répète, c’est assez rare !
Nous avons trouvé une vraie complicité humaine et c’est ce qui m'anime dans mon rôle d'élu. L’important c’est le bien commun et ce qu’on va laisser à la population. Saint-Doulchard est une ville où les gens sont heureux. Je souhaite que cela perdure et que toutes les populations puissent bien vivre ensemble. Je suis un humaniste et j’ai retrouvé cette valeur chez Obazyne.
Richard BOUDET, maire de Saint-Doulchard et deuxième vice-président de la communauté d'agglomération “Bourges plus” en charge des finances et de la solidarité communautaire.
Après avoir acheté le terrain, Johann MERCIER et Vincent MARIE, d'Obazyne sont venus se présenter pour discuter et voir quels étaient les besoins de la ville. Cette démarche m’a touché car, en général, les promoteurs ne se donnent pas cette peine.
Chantier de la zone commerciale en juin 2023
Quand j’ai l’occasion de rencontrer les personnes qui gèrent les structures installées avec Obazyne, elles me disent “On a eu un interlocuteur qui avait des valeurs et qui tenait la route”
Vincent MARIE était très présent à Saint-Doulchard et nous faisions des points d’étapes régulièrement. Quand il avait besoin d'une réponse, nous avons toujours fait en sorte d’être réactifs. Cette notion d’agilité est primordiale et a été présente des deux côtés. C’est une des valeurs que nous avons à cœur de transmettre au sein de la collectivité. Nos agents sont réactifs et précis. Leur mission est d’être à l’écoute et de répondre le plus rapidement possible, que ce soit aux demandes des particuliers, des chefs d’entreprises ou des structures comme Obazyne. C’est d’ailleurs pour cette raison que beaucoup d’entrepreneurs viennent s’installer à Saint-Doulchard : nous sommes une collectivité très proche du monde de l'entreprise et nous essayons toujours de faciliter les choses quand un projet est intéressant.
Comme je l’ai déjà dit, ce que j’ai apprécié c’est qu’après avoir racheté les terrains de l’ancien hôtel, les représentants d’Obazyne sont venus me voir pour me demander “Comment vit-on une histoire ensemble maintenant ?”; car c’est vraiment ça : on construit une histoire ensemble. Et j’y prend beaucoup de plaisir car Obazyne n’est pas là uniquement pour vendre des emplacements, mais pour accompagner les projets du début à la fin. D’ailleurs, quand j’ai l’occasion de rencontrer les personnes qui gèrent les structures installées avec Obazyne, elles me disent “On a eu un interlocuteur qui avait des valeurs et qui tenait la route”.
La première difficulté qu’on peut rencontrer, en tant que collectivité, est d’avoir un promoteur qui vienne pour implanter une structure qui ne corresponde pas au besoin du territoire. Honnêtement, ici, je n’ai pas eu de difficulté à ce niveau. Nous avons développé des structures et une offre qui n’étaient pas présentes à Saint Doulchard et qui rayonnent bien au-delà de la ville.
La seconde est d’avoir affaire à des promoteurs qui promettent des choses sur le permis de construire, en termes de végétaux, de types de construction… qu’ils ne respectent pas. Pour nous, c’est insupportable : on a pas que ça à faire ! Il faut qu’on envoie du personnel vérifier, faire des constats, ensuite c’est l’huissier… je n’envisage pas ce type de relation avec quelqu’un qui veut travailler dans ma ville… Alors que là, à chaque fois, les représentants d’Obazyne nous ont dit “Ça va être comme ça”, et ça a été comme ça ! Ils ont tenu leurs engagements.
A chaque fois, les représentants d’Obazyne nous ont dit “Ça va être comme ça”, et ça a été comme ça ! Ils ont tenu leurs engagements.
Nous avons en effet un grand projet de restructuration du centre-ville. Au départ, ce projet concernait une école qui a plus de 70 ans et que je souhaite faire démolir pour reconstruire une école du futur. Une école d’une autre dimension, avec une vision différente de l’apprentissage, où il y aura des animaux en liberté, des cultures pour que les enfants apprennent dans la classe comme hors de la classe. L’enseignement de la philosophie y tiendra une grande place avec une attention particulière à la bienveillance, le respect de l’humain, la lutte contre le harcèlement scolaire… Cette école sera un site pilote en France pour l’expérimentation lancée par Gabriel ATTAL du port de l’uniforme.
Ce projet a finalement engendré une réflexion plus globale. Cette école se situe en effet dans le centre que j’appelle “administratif” de la ville, où se trouvent la mairie et tous les logements sociaux. Il faut savoir que Saint Doulchard est la ville où il y a à la fois les plus hauts et les plus bas revenus du département. Et ça ne pose aucun problème, car toutes ces populations se respectent et arrivent à vivre ensemble. Le milieu associatif, très riche dans notre ville, contribue grandement à ce bien-vivre ensemble.
Dans ce quartier se trouvent donc des immeubles très anciens, qui ont 70, 80 ans. Ce type de logement ne correspond plus du tout à l’image de la ville et aux besoins des habitants : on ne peut pas laisser vivre des gens dans ces conditions. De la reconstruction de l’école, nous sommes donc passés à la restructuration de tout un quartier.
Lors d’un moment informel, j’ai évoqué ce projet avec Vincent MARIE et Johan MERCIER. Ils m’ont dit “On connaît un architecte urbaniste, c’est une pointure, il pourrait peut-être vous aider. Il s'appelle Michel PÉTUAUD-LÉTANG”. Je l’ai appelé, on s’est rencontré et nous avons constaté l’un et l’autre que nous avions des valeurs en commun. C’est un humaniste comme moi. Nous lui avons donc confié une mission… et il vient nous présenter ses premiers travaux le 19 décembre ! Il a été hyper réactif.
Ce que je veux dire c’est que nous avons connu et eu accès à ce monsieur, qui est une sommité dans l'aménagement urbain, qui écrit des bouquins, grâce à Vincent et Johann. Obazyne nous a envoyé vers quelqu’un de valeur, une vraie pointure. Et si, de son côté, il a accepté de nous rencontrer, c’est qu’il s’est dit “s’ils ont donné mes coordonnées à M. BOUDET, c’est qu’ils ont confiance en lui”. Tout est une histoire de confiance.
Et quand nous inaugurerons ces nouveaux équipements, Vincent MARIE et Johann MERCIER seront invités bien sûr, et cela me fera plaisir qu’ils soient près de moi, parce qu’ils participent au développement de la ville de façon intelligente, raisonnée et en partenariat.»
Quand nous inaugurerons ces nouveaux équipements, Vincent MARIE et Johann MERCIER seront invités, et ça me fera plaisir qu’ils soient près de moi, parce qu’ils participent au développement de la ville de façon intelligente, de façon raisonnée et en partenariat.